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Tanami Track – Aux frontières du désert

juillet 28, 2018 by Clémence Pas de commentaire
Comme un parfum de liberté…

Pour mes deux premiers jours de congés consécutifs une collègue m’a offert la liberté en me prêtant sa voiture – chose qu’inversement je ne ferais pas avec tout le monde, et surtout pas avec quelqu’un qui a pour habitude de conduire à droite…. En me confiant ses clés elle m’a précisé qu’il y avait dans le coffre un cubi de dix litres d’eau « au cas où »…

Agathe n’étant pas off en même temps que moi, c’est seule que je pars sur la fameuse Tanami Track. Bout à bout cette route fait 1 053 km et sert de raccourci entre le centre de l’Australie et le Kimberley. 20% est bitumé le reste relève plus de la piste. En ce moment c’est l’hiver (29 degrés) soit la saison idéale pour l’emprunter. L’été est considéré comme la saison humide (45 degrés) et la route est parfois inondée et inaccessible.

Tailler la zone

L’excitation avant de partir est au niveau maximal. J’ai hâte d’enfin découvrir la ville d’Alice Springs tout en redoutant le trajet pour y accéder (il doit durer environ deux heures). Le volant est à droite, le levier de vitesse à gauche et je me répète intérieurement de « tenir la gauche »…

La route est étroite et je croise de nombreux camions et des voitures type 4×4 conduisant comme sur une autoroute. Les bas-côtés sont plus ou moins bien entretenus et relèvent parfois du trottoir. Cela n’est pas un détail car il faut régulièrement braquer sur le côté quand un autre véhicule arrive. Les camions sont prioritaires. Ils portent parfois le nom de « road train » – car ils peuvent avoir jusqu’à trois remorques ! Pour eux, hors de question de se mettre sur le côté… Quand j’ai croisé le premier camion de ce type je me suis arrêtée sur le côté, la voiture a été secouée par la vitesse du poid-lourd, et je suis restée quelques secondes stupéfaite, avec des yeux ébahis… Il avait en plus laissé dans son sillage un nuage de poussière réduisant considérablement la visibilité – si deux véhicules se suivent il est difficile de voir le second…

La voie est parfois tellement droite qu’elle semble former un triangle et en fonction de la lumière des mirages se forment. Quand une voiture apparaît au loin il n’est pas toujours évident d’évaluer la distance.

Les panneaux sont une succession de « Floodway » (risque que la zone soit inondée en fonction de la saison), et de « grid » (grille très costaud au sol pour les troupeaux et qui accessoirement n’arrangent pas les pneus).

J’avais prévenu en partant de la roadhouse que j’allais prendre mon temps. Il m’aura fallu 2H30 pour faire 166 kilomètres… en m’arrêtant à chaque voiture que je croisais j’ai dû battre des records de lenteur. Je vous raconterez dans un prochain article comment s’est passé mon séjour à Alice Springs.

Le moment du retour – Time to go back « home » !

Le retour fut plus agréable. J’étais confiante et heureuse des moments que je venais de passer. Reconnaissante aussi d’avoir pu vivre cette parenthèse dorée.

La seule contrainte en repartant était d’arriver avant le coucher du soleil. A la tombée de la nuit, les animaux sortent et tout devient plus dangereux. En arrivant en Australie je tenais absolument à voir un kangourou – chose qui s’est d’ailleurs enfin produite à Alice Springs !

« A camel is better than a motor car – it doesn’t get a puncture. » Proverbe aborigène, début des années 1970.

Mais une fois au volant j’espérais que ce ne soit surtout pas sur la route que la première rencontre se fasse… J’aurais également pu croiser des chameaux sauvages ! Ils ont été importés d’Afghanistan entre les années 1870 et 1920. Les pauvres bêtes étaient apparemment faites pour les conditions extrêmes du désert australien. Ils transportaient alors des marchandises sur des distances incroyables. A présent ils sont utilisés pour le tourisme – il est possible de faire des balades à dos de chameaux dans le bush. A l’état sauvage, ils sont considérés comme des nuisibles qui détruisent tout sur leur passage. C’est un peu la spécialité d’ici ; les australiens semblent se soucier des conséquences de leurs actes une fois que le mal est fait. Leur solution est généralement de supprimer à leur tour l’espèce en question…

Finalement en route j’ai juste croisé des rapaces taille XXL et des vaches ! Dont une qui devait plutôt être un taureau ; je venais de m’arrêter pour prendre une photo du coucher de soleil et j’ai entendu un grognement et des bruits de pas tout prêt dans la pénombre… je n’ai pas fait la maligne ; demi-tour direct dans la voiture ! En route j’ai également vu de nombreuses termitières et une sorte de nid qui m’a donné la chair de poule. Au premier abord il avait l’air d’avoir été fait avec amour et en m’approchant j’ai vu qu’il y avait une galerie souterraine sans fond… je me suis cru dans « Stranger things »… en rentrant j’ai demandé à mon manager s’il savait ce que c’était. Il a fait des recherches et c’est en fait le travail de « Mula Ants ».

Nid de « Mula Ants »/fourmis Mula

C’était un nid de fourmis Mula (image ci-contre) ; sur le coup ça rassure. Mais en fait je suis contente de ne pas en avoir croisé une car elles ont la particularité d’avoir un arrière-train énorme couleur ambré et plein de miel ! C’est apparemment une douceur sucrée d’ici ! En entendant cela, ça me donne envie de prendre un aller simple pour Paris et de déguster un macaron – une douceur sucrée de chez-nous…

Le paysage aura été complètement différent dans le sens du retour. Pour parfaire le décor les nuages étaient au rendez-vous – ce qui est très rare ici ! Le ciel semble par défaut être invariablement d’un bleu profond. Quand il y a des nuages c’est donc un plaisir. Peu de temps avant de couper le moteur à Tilmouth Well Roadhouse, j’ai eu la chance d’assister au coucher de soleil depuis la Tanami Track. C’était comme la cerise sur le gâteau.

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Bref, je suis allée à Alice Springs

juillet 18, 2018 by Clémence 2 commentaires

Après un mois et demi passé au sein de la roadhouse, soit 45 jours sans jamais voir autre chose que le cadre qui nous est proposé – c’est-à-dire pas grand-chose – j’ai eu grandement envie de changer de décor… C’était même devenu un besoin. Seul frein qui n’est pas un détail : nous n’avons pas de voiture. J’ai donc essayé de mettre tous les moyens de mon côté pour m’évader une journée. L’objectif était de découvrir le centre-ville d’Alice Springs, de visiter l’Araluen Museum, de voir des galeries d’art aborigène et accessoirement de faire des courses.

La nuit précédant le périple j’étais tellement excitée à l’idée de « partir en ville » et de voir autre chose que j’ai à peine fermé l’œil de la nuit. C’était comme avant un voyage long-courrier ; lorsque l’on ne dort que d’un œil avec le cerveau qui continue à penser aux choses que l’on va potentiellement oublier… pourtant je ne partais pas pour bien loin mais la perspective du voyage me réjouissait grandement.

Le camion d’Owen

Après validation auprès de divers managers, la solution a finalement été trouvée le jour-j ; rendez-vous à 6h15 avec Owen, un chauffeur poids lourd de 72 ans ! Il fait partie du groupe de travailleurs séjournant à la roadhouse et construisant une pipeline de gaz sur plus de 400 km au milieu de nulle part… Pour entrer dans le camion il faut une certaine souplesse… une fois en haut on se sent les rois du monde ! Nous voilà donc parti sur la Tanami Track. Il fait encore nuit noire quand on démarre. Nous avons assisté au lever de soleil en route. J’avais oublié à quel point l’environnement autour de nous était beau. La route aura aussi servi de piqûre de rappel : l’endroit où nous vivons est vraiment très isolé.

« On the road again! »

Le trajet passe plutôt vite. Les phrases d’Owen sont ponctuées de « bloody » et de « bullshit ». Il trouve la conduite de son camion « very smooth » – on voit qu’il a plaisir à faire son métier malgré les difficultés que présentent la Tanami Track qu’il qualifie de « skinny shit » ! A l’aller on croise seulement trois voitures et un camion en deux heures ! Pour téléphoner il utilise un téléphone satellite qui fait penser aux talkies walkies géants utilisés dans Jurassic Park. Cela me fait rire intérieurement jusqu’à ce qu’il m’informe – une vingtaine de minutes avant d’arriver – qu’il faudra repartir pour 11h30-12h. Je regarde l’heure : 8H45. Je lui avais posé la question avant même de m’aventurer dans son camion mais il n’avait à ce moment-là aucune idée de l’heure de son retour.

Légère déception… je n’ai plus assez de temps pour tout faire. J’ai même le temps de ne plus faire grand-chose. Il me dépose dans le QG des travailleurs (où il doit charger son camion), situé dans une espèce de zone industrielle aussi charmante que celle de Massy-Palaiseau un dimanche après-midi. On me dit d’attendre dans les locaux (pendant plus d’une heure) le temps que le musée ouvre. No Way ! Je demande si en attendant quelqu’un peut m’accompagner chez Wooly (Woolworth de son vrai nom est surnommé Wooly par les australiens et correspond au Monop’ d’ici). Une fois au supermarché, je dis à la personne qui m’y a gentiment accompagnée de m’y laisser la matinée puisque de toutes façons je n’aurai pas le temps de faire autre chose. Cette personne me répond qu’elle a beaucoup de travail et qu’elle revient me chercher dans 30 minutes. Ok… me voilà donc presque en train de courir d’un rayon à un autre ; pressée d’en avoir fini. Trente minutes plus tard je me positionne à l’endroit que la personne m’avait indiqué. Finalement je l’ai attendu 45 minutes sur le parking ! J’aurai eu largement le temps d’explorer les environs et/ou de faire tranquillement mes achats.

Retour dans la zone industrielle. Il me reste une heure. Je décide donc de quitter ces locaux sans intérêts pour marcher dans une direction. Au bout de 10 minutes de marche je m’aperçois que la direction n’est sans doute pas la bonne – on dirait que j’arrive à la limite de la ville ! Comme Jim Carrey qui sort du Truman Show ! Il n’y a pas de transition entre la ville et le vide. C’était le bush direct. Je décide donc de faire machine arrière et en 30 minutes de marche je n’ai vu qu’une succession de bureaux ou d’entreprises installées dans des bâtiments s’apparentant à des préfabriqués… des tâches de sang par terre qui ne m’ont pas rassurées et des perroquets roses sales en guise de pigeons qui erraient. Il y avait aussi une voie ferrée déserte pour parfaire le tout. Le décor était sous un soleil franc mais qui n’a rien enlevé au côté austère et inhospitalier de cette « ville ».

Il était 11h, l’heure de revenir au camion. Le retour s’est bien passé, on a encore bien discuté avec Owen. Pour se repérer sur la route il a sa propre méthode : « A partir de là il nous reste 50 minutes » ; « là » se trouvait l’épave d’une voiture accidentée et brûlée qui semblait avoir été abandonnée là depuis des siècles…

En rentrant à la roadhouse j’ai demandé à une collègue s’il y avait vraiment un centre-ville à Alice Springs. Sa réponse : « oui, en quelque sorte… ». Je lui ai également demandé si ce centre-ville était beau – parce que j’avais des doutes… réponse, « yes prettyish » ou « oui en quelque sorte ». La visite sera sans doute pour une prochaine fois « I got stamina! » 😉

Épuisée par une nuit trop courte et un trajet de 4 h 30 pour finalement juste revenir avec des courses que j’aurais pu commander en ligne je me rends compte qu’en plus je n’ai toujours pas vu de kangourous !

Bref, je suis allée à Alice Springs…

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“Hey ! How ya doin’ mate?” ou l’anglais à la sauce australienne…

juillet 3, 2018 by Clémence 4 commentaires

La langue est souvent le reflet du mode de fonctionnement d’un pays et a tendance à influer sur la façon dont nous voyons les choses. Pensez aux Japonais… trois alphabets, des caractères tellement nombreux qu’une amie japonaise m’a elle-même avoué qu’à 36 ans elle continue à découvrir des signes… sans parler du savoir-vivre et du savoir-être qui vont avec. Je trouve fascinant de savoir qu’en fonction de notre langue notre perception est différente ; par exemple, quand nous français voyons juste de la neige ou de la glace, certains dialectes écossais (encore plus que chez les Inuits apparemment) peuvent les désigner sous plus de 400 façons* !

En Australie, avant l’arrivée des premiers colons britanniques en 1788, plus de 250 langues étaient pratiquées par les populations aborigènes**. Aujourd’hui, chaque communauté pratique encore son propre dialecte. Il est courant que les aborigènes pratiquent six à sept langues au quotidien ! Ils utilisent parfois une langue différente en fonction des membres de leur famille ; une sacrée gymnastique cérébrale !

Je vous propose d’écouter Floyd, un australien issu d’une communauté aborigène qui nous souhaite la « bienvenue dans son beau pays ».

La version anglaise en revanche se rapproche de l’américain en termes de recherche de simplicité ; il faut faire au plus court ! Cette quête semble être en adéquation totale avec leur mode de vie « Take it easy ! » ou l’art de « ne pas se prendre la tête ». Ce sont les rois du côté pratique.

En fonction de l’Etat, l’accent est parfois indéchiffrable. La première personne à qui l’on a parlé quand on a atterri à Alice Springs avait une façon de s’exprimer qui se rapprochait du message crypté. Cela ne nous a pas rassurées… Elle devait avoir l’accent du bush profond. Même l’accent américain du fin fond du Kansas est plus compréhensible. Finalement, soit on s’est rapidement fait à l’accent de l’outback, soit c’était un cas à part mais globalement la communication est bonne.

Voici une petite sélection des mots et expressions entendus ici et qui m’ont marqué car je ne les avais jamais entendues auparavant.

  • Hey ! How ya doin’ mate ?
    Salut, comment vas-tu ?
    « mate » est l’équivalent de « camarade », mais les australiens l’emploient tout le temps et même si les personnes se rencontrent pour la première fois. Comme un « salut, ca va ? »  automatique.
  • G’Day/Good day
    Bonjour
  • No worries
    De rien, je t’en prie, pas de soucis.
    Employé quotidiennement également.
  • ‘Ta!
    Merci
  • Going to the lou
    Aller aux toilettes
  • A cold one
    Une bière
  • A barbie
    Un barbecue
  • Goon
    Cubi (de vin australien de qualité très variable…)
  • Straya
    Australia
  • Cheers!
    Merci, à bientôt !
  • Heaps of
    Beaucoup de…
  • Lollies
    Bonbons

Pour la version courte :

  • Cab Sab
    Cabernet Sauvignon
  • Brekky/Breakfast
    Petit déjeuner
  • Ciggy
    Cigarette
  • Servo
    Station-service
  • Bottle-O/Bottle Shop
    Caviste (la plupart du temps l’alcool n’est pas vendu en grande surface mais dans des boutiques spécialisées).
  • PJs
    Pyjamas
  • Bikky
    Biscuit

Pour conclure, nous avons également été rebaptisées… Ici Agathe est devenue Agy et je suis Clem…

 

 

 

*Source : Royaume-Unis. Les Ecossais ont plus de mots pour dire « neige » que les Inuits, Courrier International, 24 septembre 2015 [en ligne] Disponible sur : https://www.courrierinternational.com/article/royaume-uni-les-ecossais-ont-plus-de-mots-pour-dire-neige-que-les-inuits [consulté le 2 juillet 2018]

**Source : L’origine commune de toutes les langues aborigènes enfin démontrée, Le Courrier australien [en ligne] Disponible sur : http://www.lecourrieraustralien.com/lorigine-commune-de-toutes-les-langues-aborigenes-enfin-demontree/ [consulté le 2 juillet 2018]

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Recette dispo sur --> http://sweettrotteuse.fr/le-mont-blanc-de-lexotisme-dans-lassiette
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